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Les journées - ou demi-journées - d'étude sont un espace d'échanges scientifiques. Le laboratoire explore avec la participation des meilleurs experts et collègues, des problématiques en lien avec les axes de recherche du Carism
Programme 9h - Ouverture : Guillaume Leyte, Président de l’Université Panthéon-Assas (Paris II)
Matinée animée par Valérie Devillard
14 h : Après-midi animée par Josiane Jouët
Tout au long de la journée des courts interviews filmés des anciens directeurs de l’IFP seront présentés par Laurence Crohem et Isabelle Démier.
Cette journée d’études préparée par des doctorants du laboratoire s’intéresse à la production, la circulation et la réception de la stigmatisation au sein des arènes médiatiques. Dans quelle mesure les médias construisent, supportent et véhiculent-ils un champ sémantique et/ou une iconographie de la stigmatisation ? Comment représente-t-on l’Autre ? Emploie-t-on des métaphores (visuelles ou écrites) pour dire l’altérité ? Que se passe-t-il quand le stigmate est retourné contre son auteur ?
La journée a proposé une analyse rétrospective de la loi, de sa genèse et des caractéristiques de sa mise en place.
Cette journée d’étude s’est proposé de faire un tour d’horizon des manières dont l’œuvre de Louis Guilloux a été reçue notamment dans les milieux aussi divers que le monde universitaire, celui de la radio, de la télévision et de la presse écrite.
Cette journée d’étude a exploré la réalité des transformations présentées et les différents aspects qui les sous-tendent, en associant chercheurs et professionnels pour parvenir à une vision plus claire des enjeux et des questions soulevées, tout en tentant d’identifier des éléments de réponse. Trois traits particulièrement saillants de ces transformations ont été interrogés : l’emprise grandissante de la fonction marketing au sein des entreprises de presse, les métriques du web, qui révèlent ce qui intéresse les lecteurs et se font ainsi l’écho de leur demande dans la salle de rédaction et enfin l’intrusion de la demande des annonceurs dans le processus de production de contenus.
Cette journée a questionné les espaces et les modes de composition, de manifestation et d’intervention des publics, dans des contextes pluriels et plus ou moins contrastés. Elle s’est intéressée, notamment, aux modes d’engagement médiatique des publics politiques, dans ces moments de convergence entre médias traditionnels et numériques.
Une première journée a été consacrée aux statistiques institutionnelles sur les journalistes : elle a mis en évidence leurs singularités à travers l’analyse des conditions de leur production (CCIJP, Audiens, INSEE, autres sources administratives).
Une seconde a contribué à interroger la production, par les chercheurs eux-mêmes, de données quantitatives variées portant aussi bien sur les carrières des journalistes que sur la transformation des conditions de production de l’information.
L’effondrement a été abordé à partir des notions et thématiques telles que les temps, histoire et figures de l’effondrement, récits médiatiques d’effondrement ou encore les enjeux et discours sociopolitiques et géostratégiques. À partir des performances de l’effondrement, on a pu penser la performance des images médiatiques au sein des arts visuels. La réitération de l’effondrement au cinéma, en photographie, au sein d’installations, dans l’art vidéo, en architecture ou en sculpture comme retour de l’événement.
Co-organisée par l’université Rennes II-CELLAM et l’université Panthéon-Assas-CARISM), cette journée d'étude a prolongé une première journée tenue sur le même thème en 2011 à l'Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines. Il y a été question aussi bien des relations de Louis Guilloux avec la presse communiste ou prolétarienne, que de la période de L'Intransigeant ou des parutions de Louis Guilloux pendant la Seconde Guerre mondiale. La journée a permis également de revenir sur les contes et les nouvelles publiées dans la presse par l'auteur du Sang noir.
Cette journée de recherche pluridisciplinaire sur les pratiques amateurs s’intéressait à l’user social and political generated contents (USPGC) où l’amateur, loin d’être cantonné dans des espaces privés, contribue à la vie sociale et politique. Les problématiques de l’amateur ont été pensées dans les paradigmes du monde professionnel et des institutions de l’information et de la communication. La pratique de la diffusion de documents amateurs par les médias, et l’histoire des pratiques amateurs soulignent les conditions politiques et publiques dans lesquelles les pratiques amateurs sont diffusées, distribuées, encouragées.
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